ET SI COGITO
QUOD NON SUM
4. mars, 2019
Au-delà des symptômes que j'ai quand je n'ai pas mes cachets, il subsiste des troubles même qand au final ça va plutôt bien et que j'ai mes cachets.
En gros, je ne supporte pas les rires trop forts ou trop marqués ou les gloussements. Je les prends spontanément pour moi même si je sais que ce n'est pas vrai.
Je crois qu'au final, au-delà de la parano et le fait de prendre ce genre de choses pour moi. Je ne supporte pas ce genre de bruits. Et quand je dis je ne supporte pas. C'est que , je crois, que tout mon être est incompatible avec ce genre de bruits. Finalement je ne supporte pas les bruits de fêtes ou les bruits trop agressifs.
Déjà, je crois que je ne comprends pas ce genre d'attitudes au final.Je ne comprends pas le second degré, l'autodérision, les réjouissances positives. En plus d'être trop sensible aussi.
Ma maladie, finalement, c'est d'avoir tord de tout mon être. De ne pas comprendre ce qui est tout à fait normal.
Je peux être différent mais je dois pouvoir compendre les autres sans les prendre pour des ennemies.