ET SI COGITO
QUOD NON SUM
19. mai, 2019
Quand je parle de culpabilité et de délires de persécution c'est surtout ou plutôt, pour moi, un sentiment de culpabilité. Parce que entre la réalité des choses et le sentiment ou l'interprêtation que l'on en a ya parfois un monde.
Je pense que, chez moi en tout cas, c'était plutôt une situation de déracinement, de solitude que j'ai mal géré et que j'ai transformé en rejet de la part des autres.