ET SI COGITO
QUOD NON SUM
8. oct., 2019
Même si nous avons eu globalement une vie bien pourrie, je crois qu'il y a toujours de la lumière, de l'espoir. On a, en général, toujours de la chance même dans nos grands malheurs.
Moi j'ai pris ma maladie en pleine gueule et elle m'a fait beaucoup de mal mais je crois aussi qu'elle m'a fait beaucoup de bien, au final.
Mais ya toujours de l'espoir même à l'article de la mort et au-delà de la mort même jusqu'à la dernière seconde.
Ça n'engage que moi mais je suis sûre que quand on meurt on les voit ces lumières sans oublier les rêves.
Peut être que rêves et lumières se mélangent dans une danse signifiante.